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La presse en a parlé
LA TERRASSE Le lyrisme se confirme être la matrice musicale même de Machado qui, quels que soient les projets, semble n'avoir qu'une idée en tête: faire chanter sa musique
MAD JAZZ MAGAZINE Jean-Marie Machado s'impose comme un des grands mixologues d'aujourd'hui : ses cocktails musicaux viennent du cœur.
Danzas Sinfonia
La musique de Danzas Sinfonia se développe comme une suite d’humeurs poétiques inventée en un seul geste musical.
Présentation
Mardi 11 avril à 20h30.
Tout public - Durée : 1h15
Jean Marie Machado et l’orchestre Danzas
La musique de Danzas Sinfonia se développe comme une suite d’humeurs poétiques inventée en un seul geste musical. En se mêlant les unes aux autres, elles créent un parcours de danses liées à des évocations tirées de l’imaginaire marin.
Chaque mouvement de la mer est associé à une danse : Le tango et la houle Tanghoule, l’Aber également nommée Ria et le largo, Ria Largo ou encore le Slow flot.
Comme Une barque sur l’océan de Maurice Ravel, cette dérive symphonique actuelle d’un seul souffle me permet l’errance utile à l’exploration et l’imaginaire.
Le souvenir des sensations de l’enfance que Chantal Thomas nomme l’écume des rires et le désir de se perdre dans l’immensité bleue à l’infini ont guidé les compositions de Danzas Sinfonia.
Danzas Sinfonia
La musique de Danzas Sinfonia se développe comme une suite d’humeurs poétiques inventée en un seul geste musical.
Présentation
Mardi 11 avril à 20h30.
Tout public - Durée : 1h15
Jean Marie Machado et l’orchestre Danzas
La musique de Danzas Sinfonia se développe comme une suite d’humeurs poétiques inventée en un seul geste musical. En se mêlant les unes aux autres, elles créent un parcours de danses liées à des évocations tirées de l’imaginaire marin.
Chaque mouvement de la mer est associé à une danse : Le tango et la houle Tanghoule, l’Aber également nommée Ria et le largo, Ria Largo ou encore le Slow flot.
Comme Une barque sur l’océan de Maurice Ravel, cette dérive symphonique actuelle d’un seul souffle me permet l’errance utile à l’exploration et l’imaginaire.
Le souvenir des sensations de l’enfance que Chantal Thomas nomme l’écume des rires et le désir de se perdre dans l’immensité bleue à l’infini ont guidé les compositions de Danzas Sinfonia.
La presse en a parlé
LA TERRASSE Le lyrisme se confirme être la matrice musicale même de Machado qui, quels que soient les projets, semble n'avoir qu'une idée en tête: faire chanter sa musique
MAD JAZZ MAGAZINE Jean-Marie Machado s'impose comme un des grands mixologues d'aujourd'hui : ses cocktails musicaux viennent du cœur.
La presse en a parlé
LA TERRASSE Avec une très belle équipe de comédiennes et comédiens, Alain Batis propose une mise en scène pleine de fantaisie et de vivacité de cette pièce de Molière injustement méconnue. Une partition qui résonne joliment, ici et maintenant.
L'ALSACE Le texte de Molière résonne singulièrement rythmées par des envolées chantées qui font basculer le tout dans une sorte de comédie musicale.
CRITIQUE THÉÂTRE CLAU Joyeux, Pétillant, Performant.Alain Batis dans une mise en scène joyeuse avec une équipe de comédiens pleine de vitalité nous offre 1h30 le bonheur et le plaisir de découvrir cette succulente pièce.
L’école des maris
Une partition théâtrale, chorégraphique et musicale pour 7 comédiens.
Présentation
Vendredi 7 avril à 20h30.
Tout public à partir de 12 ans. Durée : 1h30.
De Molière, mise en scène Alain Batis.
Deux jeunes sœurs orphelines, se voient confiées à la mort de leur père à deux frères d’âge mûr. Ces derniers sont chargés par contrat ou de les épouser ou d’en disposer. Isabelle échappe à un Sganarelle amoureux et despote pour rejoindre Valère.
Un théâtre qui convoque « des figures masculines ambivalentes». Sganarelle « l’arroseur arrosé » qui nous livre son désordre intérieur, Ariste qui défend « la tempérance », Valère « l’amoureux » initié par Ergaste, « l’expérimenté ». Quant aux personnages féminins, ils sont d’une extrême modernité. Isabelle déjoue un Sganarelle amoureux, aveuglé, infantile, Lisette dénonce les abus et les inégalités, Léonor exprime avec clairvoyance son libre-arbitre.
Avec L’École des maris, il en va du désir de raconter avec poésie la complexité des rapports amoureux mais aussi de mettre en résonance cette pièce de 1661 avec aujourd’hui témoignant du chemin qu’il nous reste à accomplir quant à la question d’équité entre la femme et l’homme. « Tournant » dans l’œuvre de Molière, cette comédie en alexandrins aux allures de farce jubilatoire touche à des questions sociales et politiques et recèle une dimension existentielle et une force poétique.
AUTOUR DU SPECTACLE
Le Molière imaginaire, conférence sur Molière avec Marcel Bozonnet et Martial Poirson.
Au répertoire de la compagnie des Comédiens Voyageurs.
Jeudi 6 avril 2023 à 20h30 - Tarif unique : 9€.
La vie de Molière a suscité de nombreuses légendes. Elles se sont perpétuées et ont infusé jusque dans le discours savant et scolaire, tout en connaissant de nouveaux développements dans les médias et les arts populaires. La survivance de ces idées fausses d’une étonnante longévité a altéré la lecture de son œuvre. Elles ont durablement infléchi la réception de ce théâtre jusqu’à nos jours, à la faveur de contre-sens historiques et d’anecdotes contre-factuelles.
Cette conférence-lecture s’inscrit dans la tradition d’éducation culturelle et artistique du mouvement de l’éducation populaire. Elle propose l’archéologie d’une dizaine de mythes récurrents : l’artiste bohème, le prête-nom de Corneille, l’intime de Louis XIV, le mari trompé, le père incestueux, le comédien mort en scène sans sépulture... Ils sont mis en regard avec les œuvres de Molière, auxquelles ils proposent des perspectives inattendues.
L’école des maris
Une partition théâtrale, chorégraphique et musicale pour 7 comédiens.
Présentation
Vendredi 7 avril à 20h30.
Tout public à partir de 12 ans. Durée : 1h30.
De Molière, mise en scène Alain Batis.
Deux jeunes sœurs orphelines, se voient confiées à la mort de leur père à deux frères d’âge mûr. Ces derniers sont chargés par contrat ou de les épouser ou d’en disposer. Isabelle échappe à un Sganarelle amoureux et despote pour rejoindre Valère.
Un théâtre qui convoque « des figures masculines ambivalentes». Sganarelle « l’arroseur arrosé » qui nous livre son désordre intérieur, Ariste qui défend « la tempérance », Valère « l’amoureux » initié par Ergaste, « l’expérimenté ». Quant aux personnages féminins, ils sont d’une extrême modernité. Isabelle déjoue un Sganarelle amoureux, aveuglé, infantile, Lisette dénonce les abus et les inégalités, Léonor exprime avec clairvoyance son libre-arbitre.
Avec L’École des maris, il en va du désir de raconter avec poésie la complexité des rapports amoureux mais aussi de mettre en résonance cette pièce de 1661 avec aujourd’hui témoignant du chemin qu’il nous reste à accomplir quant à la question d’équité entre la femme et l’homme. « Tournant » dans l’œuvre de Molière, cette comédie en alexandrins aux allures de farce jubilatoire touche à des questions sociales et politiques et recèle une dimension existentielle et une force poétique.
AUTOUR DU SPECTACLE
Le Molière imaginaire, conférence sur Molière avec Marcel Bozonnet et Martial Poirson.
Au répertoire de la compagnie des Comédiens Voyageurs.
Jeudi 6 avril 2023 à 20h30 - Tarif unique : 9€.
La vie de Molière a suscité de nombreuses légendes. Elles se sont perpétuées et ont infusé jusque dans le discours savant et scolaire, tout en connaissant de nouveaux développements dans les médias et les arts populaires. La survivance de ces idées fausses d’une étonnante longévité a altéré la lecture de son œuvre. Elles ont durablement infléchi la réception de ce théâtre jusqu’à nos jours, à la faveur de contre-sens historiques et d’anecdotes contre-factuelles.
Cette conférence-lecture s’inscrit dans la tradition d’éducation culturelle et artistique du mouvement de l’éducation populaire. Elle propose l’archéologie d’une dizaine de mythes récurrents : l’artiste bohème, le prête-nom de Corneille, l’intime de Louis XIV, le mari trompé, le père incestueux, le comédien mort en scène sans sépulture... Ils sont mis en regard avec les œuvres de Molière, auxquelles ils proposent des perspectives inattendues.
La presse en a parlé
LA TERRASSE Avec une très belle équipe de comédiennes et comédiens, Alain Batis propose une mise en scène pleine de fantaisie et de vivacité de cette pièce de Molière injustement méconnue. Une partition qui résonne joliment, ici et maintenant.
L'ALSACE Le texte de Molière résonne singulièrement rythmées par des envolées chantées qui font basculer le tout dans une sorte de comédie musicale.
CRITIQUE THÉÂTRE CLAU Joyeux, Pétillant, Performant.Alain Batis dans une mise en scène joyeuse avec une équipe de comédiens pleine de vitalité nous offre 1h30 le bonheur et le plaisir de découvrir cette succulente pièce.
Le Molière imaginaire
Le Molière imaginaire, conférence sur Molière avec Marcel Bozonnet et Martial Poirson.
Présentation
Jeudi 6 avril à 20h30.
Le Molière imaginaire, conférence-lecture sur Molière avec Marcel Bozonnet et Martial Poirson.
Au répertoire de la compagnie des Comédiens Voyageurs.
La vie de Molière a suscité de nombreuses légendes. Elles se sont perpétuées et ont infusé jusque dans le discours savant et scolaire, tout en connaissant de nouveaux développements dans les médias et les arts populaires. La survivance de ces idées fausses d’une étonnante longévité a altéré la lecture de son œuvre. Elles ont durablement infléchi la réception de ce théâtre jusqu’à nos jours, à la faveur de contre-sens historiques et d’anecdotes contre-factuelles.
Cette conférence-lecture s’inscrit dans la tradition d’éducation culturelle et artistique du mouvement de l’éducation populaire. Elle propose l’archéologie d’une dizaine de mythes récurrents : l’artiste bohème, le prête-nom de Corneille, l’intime de Louis XIV, le mari trompé, le père incestueux, le comédien mort en scène sans sépulture... Ils sont mis en regard avec les œuvres de Molière, auxquelles ils proposent des perspectives inattendues.
Podcast à écouter sur France Culture : "Le Molière imaginaire, les mythes qui ont fait sa légende 1622-2023" de Martial Poirson.
AUTOUR DE LA CONFÉRENCE
Les personnes qui assisteront à la conférence bénéficieront du tarif réduit pour L'ÉCOLE DES MARIS à l'affiche vendredi 7 avril à 20h30.
Le Molière imaginaire
Le Molière imaginaire, conférence sur Molière avec Marcel Bozonnet et Martial Poirson.
Présentation
Jeudi 6 avril à 20h30.
Le Molière imaginaire, conférence-lecture sur Molière avec Marcel Bozonnet et Martial Poirson.
Au répertoire de la compagnie des Comédiens Voyageurs.
La vie de Molière a suscité de nombreuses légendes. Elles se sont perpétuées et ont infusé jusque dans le discours savant et scolaire, tout en connaissant de nouveaux développements dans les médias et les arts populaires. La survivance de ces idées fausses d’une étonnante longévité a altéré la lecture de son œuvre. Elles ont durablement infléchi la réception de ce théâtre jusqu’à nos jours, à la faveur de contre-sens historiques et d’anecdotes contre-factuelles.
Cette conférence-lecture s’inscrit dans la tradition d’éducation culturelle et artistique du mouvement de l’éducation populaire. Elle propose l’archéologie d’une dizaine de mythes récurrents : l’artiste bohème, le prête-nom de Corneille, l’intime de Louis XIV, le mari trompé, le père incestueux, le comédien mort en scène sans sépulture... Ils sont mis en regard avec les œuvres de Molière, auxquelles ils proposent des perspectives inattendues.
Podcast à écouter sur France Culture : "Le Molière imaginaire, les mythes qui ont fait sa légende 1622-2023" de Martial Poirson.
AUTOUR DE LA CONFÉRENCE
Les personnes qui assisteront à la conférence bénéficieront du tarif réduit pour L'ÉCOLE DES MARIS à l'affiche vendredi 7 avril à 20h30.
La presse en a parlé
Sous le plancher
Théâtre visuel & musique live. C'est une fantaisie qui laisse une grande place aux rêves.
Présentation
Samedi 25 mars à 16h.
Tout public à partir de 3 ans - Durée : 40 min
Au commencement du spectacle, il n’y a… rien !
Sous le plancher est une fantaisie qui laisse une grande place aux rêves. Une nouvelle création signée Bénédicte Guichardon qui s'interroge sur l'ennui et notre rapport au temps.
Mais pourquoi, quand on ne fait rien, on a l’impression de perdre son temps ? Qu'est ce qui fait que l'on ne cesse de remplir nos journées ? Pourquoi cette course effrénée et permanente ? À qui ou à quoi voulons-nous échapper ?
Peut-être à l'ennui, peut-être que l'on a peur du vide... c'est si vertigineux ce sentiment du rien.
En suivant trois personnages au fil de leurs découvertes, chaque spectateur est invité à s’émerveiller. À partir d’objets disparates, qui semblent être là par hasard, les héros font surgir des images inattendues et fascinantes. C’est en soulevant la trappe que se déploie le merveilleux, comme le cristal à facettes a la capacité d’ouvrir l’espace et diffracte la lumière, offrant un champ de rêverie, propre à chacun.
Sous le plancher
Théâtre visuel & musique live. C'est une fantaisie qui laisse une grande place aux rêves.
Présentation
Samedi 25 mars à 16h.
Tout public à partir de 3 ans - Durée : 40 min
Au commencement du spectacle, il n’y a… rien !
Sous le plancher est une fantaisie qui laisse une grande place aux rêves. Une nouvelle création signée Bénédicte Guichardon qui s'interroge sur l'ennui et notre rapport au temps.
Mais pourquoi, quand on ne fait rien, on a l’impression de perdre son temps ? Qu'est ce qui fait que l'on ne cesse de remplir nos journées ? Pourquoi cette course effrénée et permanente ? À qui ou à quoi voulons-nous échapper ?
Peut-être à l'ennui, peut-être que l'on a peur du vide... c'est si vertigineux ce sentiment du rien.
En suivant trois personnages au fil de leurs découvertes, chaque spectateur est invité à s’émerveiller. À partir d’objets disparates, qui semblent être là par hasard, les héros font surgir des images inattendues et fascinantes. C’est en soulevant la trappe que se déploie le merveilleux, comme le cristal à facettes a la capacité d’ouvrir l’espace et diffracte la lumière, offrant un champ de rêverie, propre à chacun.
La presse en a parlé
À moi !
Pour sa nouvelle création marionnettique, la compagnie A Kan la Dériv’ a travaillé sur la naissance du besoin de possession chez l’enfant.
Présentation
Samedi 11 mars à 16h.
Tout public à partir de 3 ans - Durée : 35 min
Pour sa nouvelle création marionnettique, la compagnie A Kan la Dériv’ a travaillé sur la naissance du besoin de possession chez l’enfant.
Céleste, petite fille en pleine construction, cherche à exister dans un monde où l’objet est au centre de toutes les attentions. Comment parviendra-t-elle à trouver le bon équilibre entre le nécessaire et le superflu ?
Accompagnée de son doudou, elle va explorer le monde qui l’entoure et devra faire face à un « désir d’avoir » sans cesse décuplé… jusqu’à se retrouver prisonnière de ses propres possessions.
Prêter attention à un objet, le convoiter, le demander, s’en saisir, le délaisser, le transmettre. Tout cela nous renvoie à des actes quotidiens, banals, « naturels ». À quel moment ce besoin apparaît-il et pourquoi ? Est-ce un acte instinctif ou induit par notre environnement ? En quoi cette notion est-elle révélatrice de notre époque ?
À moi !
Pour sa nouvelle création marionnettique, la compagnie A Kan la Dériv’ a travaillé sur la naissance du besoin de possession chez l’enfant.
Présentation
Samedi 11 mars à 16h.
Tout public à partir de 3 ans - Durée : 35 min
Pour sa nouvelle création marionnettique, la compagnie A Kan la Dériv’ a travaillé sur la naissance du besoin de possession chez l’enfant.
Céleste, petite fille en pleine construction, cherche à exister dans un monde où l’objet est au centre de toutes les attentions. Comment parviendra-t-elle à trouver le bon équilibre entre le nécessaire et le superflu ?
Accompagnée de son doudou, elle va explorer le monde qui l’entoure et devra faire face à un « désir d’avoir » sans cesse décuplé… jusqu’à se retrouver prisonnière de ses propres possessions.
Prêter attention à un objet, le convoiter, le demander, s’en saisir, le délaisser, le transmettre. Tout cela nous renvoie à des actes quotidiens, banals, « naturels ». À quel moment ce besoin apparaît-il et pourquoi ? Est-ce un acte instinctif ou induit par notre environnement ? En quoi cette notion est-elle révélatrice de notre époque ?
La presse en a parlé
La presse en a parlé
THE NEW YORK TIMES […] Sur 1570 spectacles, il y a une certaine forme de délice à tomber sur un joyau comme Téléphone-moi.
TÉLÉRAMA […] De secrets en drames, une tragédie s’énonce. Avec, en bout de course, la perspective d’une résilience. Prenante représentation.
LE PARISIEN Portée par une mise en scène maline et élégante, la pièce de Jean-Christophe Dollé et Clotilde Morgiève […] se construit sur la longueur. Avec, en feu d’artifice, une poussée émotionnelle qui vous fera sortir les mouchoirs.
MARIANNE L’excellente compagnie f.o.u.i.c ressuscite les cabines téléphoniques en y appliquant sa méthode : personnages marginaux, science éprouvée du scénario, mise en scène percutante […] c’est parfois émouvant, souvent drôle, et poignant.
Téléphone-moi
Une fresque familiale qui traverse le siècle.
Présentation
Vendredi 17 février à 20h30.
Tout public à partir de 12 ans - Durée : 1h40
Une fresque familiale qui traverse le siècle. Une cabine téléphonique, trois époques : 1945,1981,1998.
Tout s’y déroule dans des cabines téléphoniques, l’amour et la violence. C’est là qu’éclate la vérité et que s’échafaudent les mensonges, là que tout prend vie et que l’on meurt aussi.
Traversant les époques, depuis la libération de Paris jusqu’à la victoire de Zidane en 98, on recolle peu à peu les pièces de ce puzzle généalogique, où prennent corps les pouvoirs invisibles et mystérieux de la transmission intergénérationnelle.
La toile de fond historique met en lumière un récit plus intime de personnages fragiles, abîmés par la vie, qui cherchent à résoudre les énigmes de leur enfance. C’est l’histoire de leur trajectoire chaotique. Ils se mentent pour se protéger, se nuisent en voulant s’aider, et s’aiment sans parvenir à se le dire.
Téléphone-moi
Une fresque familiale qui traverse le siècle.
Présentation
Vendredi 17 février à 20h30.
Tout public à partir de 12 ans - Durée : 1h40
Une fresque familiale qui traverse le siècle. Une cabine téléphonique, trois époques : 1945,1981,1998.
Tout s’y déroule dans des cabines téléphoniques, l’amour et la violence. C’est là qu’éclate la vérité et que s’échafaudent les mensonges, là que tout prend vie et que l’on meurt aussi.
Traversant les époques, depuis la libération de Paris jusqu’à la victoire de Zidane en 98, on recolle peu à peu les pièces de ce puzzle généalogique, où prennent corps les pouvoirs invisibles et mystérieux de la transmission intergénérationnelle.
La toile de fond historique met en lumière un récit plus intime de personnages fragiles, abîmés par la vie, qui cherchent à résoudre les énigmes de leur enfance. C’est l’histoire de leur trajectoire chaotique. Ils se mentent pour se protéger, se nuisent en voulant s’aider, et s’aiment sans parvenir à se le dire.
La presse en a parlé
THE NEW YORK TIMES […] Sur 1570 spectacles, il y a une certaine forme de délice à tomber sur un joyau comme Téléphone-moi.
TÉLÉRAMA […] De secrets en drames, une tragédie s’énonce. Avec, en bout de course, la perspective d’une résilience. Prenante représentation.
LE PARISIEN Portée par une mise en scène maline et élégante, la pièce de Jean-Christophe Dollé et Clotilde Morgiève […] se construit sur la longueur. Avec, en feu d’artifice, une poussée émotionnelle qui vous fera sortir les mouchoirs.
MARIANNE L’excellente compagnie f.o.u.i.c ressuscite les cabines téléphoniques en y appliquant sa méthode : personnages marginaux, science éprouvée du scénario, mise en scène percutante […] c’est parfois émouvant, souvent drôle, et poignant.
La presse en a parlé
JAZZ NEWS Son écriture est de l’ordre d’une rêverie au crépuscule ou à l’aube, dans une clarté hâve, peut-être celle du phare (Majakka en finois).
OPEN JAZZ Des morceaux de vie et de musique qui orientent Jean-Marie Machado comme la lumière d’un phare.
CHOC JAZZ MAGAZINE On y entend l’écho de nos inquiétudes contemporaines. Le lyrisme est là pourtant, avec des moments d’euphorie et de fête insouciante.
MAJAKKA, quartet jazz
Les mélodies, les sons, les timbres, les rythmes, les titres évocateurs des pièces... tout est riche et généreux sur Majakka.
Présentation
Samedi 11 février à 20h30.
Tout public - Durée : 1h15 (+ première partie de 30 minutes avec le Conservatoire)
Piano, percussions, saxophone, violoncelle
C’est lors d’une tournée dans les pays baltes que Jean-Marie Machado découvre le mot majakka et sa belle sonorité. Le « j » se prononce « ya » et il faut laisser un tout petit espace avant les deux « k » ce qui lui donne un côté très chantant.
Majakka prend forme autour de mélodies inventées durant son prolifique parcours de compositeur. Elles sont comme des phares qui guident et éclairent son cheminement jusqu’à aujourd’hui. Ces chants parlent de rêveries poétiques, ils sont des émotions révélées et partagées.
Les mélodies, les sons, les timbres, les rythmes, les titres évocateurs des pièces... tout est riche et généreux sur Majakka. Poétique, ciselé, tantôt en rondeur délicate, tantôt en grande ferveur. La qualité d'écriture et d'arrangements, alliée à l'excellence des interprètes (Keyvan Chemirani éclatant d'inventivité et de surprises, Jean-Charles Richard sensible mélodiste à la sonorité éblouissante, Vincent Ségal élégant de virtuosité, érudit des sons du monde) souligne une fois de plus l'accomplissement du chemin de Jean-Marie Machado.
PREMIÈRE PARTIE (30 min.)
Une vingtaine d’élèves du conservatoire, tous instruments confondus, seront sur la scène au « lever de rideau » pour une restitution de leurs ateliers de création musicale.
MAJAKKA, quartet jazz
Les mélodies, les sons, les timbres, les rythmes, les titres évocateurs des pièces... tout est riche et généreux sur Majakka.
Présentation
Samedi 11 février à 20h30.
Tout public - Durée : 1h15 (+ première partie de 30 minutes avec le Conservatoire)
Piano, percussions, saxophone, violoncelle
C’est lors d’une tournée dans les pays baltes que Jean-Marie Machado découvre le mot majakka et sa belle sonorité. Le « j » se prononce « ya » et il faut laisser un tout petit espace avant les deux « k » ce qui lui donne un côté très chantant.
Majakka prend forme autour de mélodies inventées durant son prolifique parcours de compositeur. Elles sont comme des phares qui guident et éclairent son cheminement jusqu’à aujourd’hui. Ces chants parlent de rêveries poétiques, ils sont des émotions révélées et partagées.
Les mélodies, les sons, les timbres, les rythmes, les titres évocateurs des pièces... tout est riche et généreux sur Majakka. Poétique, ciselé, tantôt en rondeur délicate, tantôt en grande ferveur. La qualité d'écriture et d'arrangements, alliée à l'excellence des interprètes (Keyvan Chemirani éclatant d'inventivité et de surprises, Jean-Charles Richard sensible mélodiste à la sonorité éblouissante, Vincent Ségal élégant de virtuosité, érudit des sons du monde) souligne une fois de plus l'accomplissement du chemin de Jean-Marie Machado.
PREMIÈRE PARTIE (30 min.)
Une vingtaine d’élèves du conservatoire, tous instruments confondus, seront sur la scène au « lever de rideau » pour une restitution de leurs ateliers de création musicale.
La presse en a parlé
JAZZ NEWS Son écriture est de l’ordre d’une rêverie au crépuscule ou à l’aube, dans une clarté hâve, peut-être celle du phare (Majakka en finois).
OPEN JAZZ Des morceaux de vie et de musique qui orientent Jean-Marie Machado comme la lumière d’un phare.
CHOC JAZZ MAGAZINE On y entend l’écho de nos inquiétudes contemporaines. Le lyrisme est là pourtant, avec des moments d’euphorie et de fête insouciante.
LE VIOLON ROI avec orchestre
Un voyage musical de Francfort à Londres, autour d’œuvres maîtresses de Mendelssohn et Haydn.
Présentation
Vendredi 27 janvier à 20h30.
Tout public - Durée : 1h30
Un voyage musical de Francfort à Londres, autour d’œuvres maîtresses de Mendelssohn et Haydn.
- Félix Mendelssohn Concerto pour violon et orchestre n°2 en mi mineur, Op. 64
- Joseph Haydn Symphonie n°104 en ré majeur « Londres »
Considéré à juste titre comme l’un des monuments du répertoire pour violon, le Concerto n°2, op. 64 de Félix Mendelssohn fut créé en 1845 par le violoniste Ferdinand David. Mendelssohn ne put entendre son œuvre qu’en 1847 à Leipzig, un mois avant de s’éteindre. La douceur et le lyrisme du thème exposé dès la seconde mesure au violon captive l’auditeur et le plonge immédiatement dans une promenade mélodique à la fois intimiste, rêveuse et fantaisiste.
Les dialogues incessants entre le soliste et l’orchestre rendent cette œuvre parfaitement homogène, tant dans l’enchainement des tonalités abordées que sur le plan de l’équilibre instrumental.
Les termes de Michel Ciry sont ainsi aisément justifiés : « Il est peu de moments musicaux qui atteignent à ce point de réussite ».
Pierre Fouchenneret, jeune violoniste français menant une carrière internationale bien remplie, nous livrera son interprétation de cette œuvre émouvante avec toute la douceur et la technique requises.
« Une nouvelle symphonie en ré, la douzième et dernière des anglaises… L’auditoire était très satisfait, et moi aussi. Cette soirée m’a rapporté 4000 florins. Une telle chose n’est possible qu’en Angleterre ». Ce sont les mots notés dans son carnet par Joseph Haydn, suite à la création de sa Symphonie n°104, le 4 mai 1795 dans la capitale britannique. Cette œuvre d’un compositeur de 63 ans est parfaitement aboutie ; du grandiose début à l’unisson au final repris fortissimo sur une puissante pédale de tonique, toutes ses pages témoignent d’une pièce unifiée de par ses intervalles et la succession de ses thèmes.
AUTOUR DU CONCERT
- Vendredi 27 janvier, 14h et 15h15
Actions de découverte musicale en direction des scolaires, par le Quatuor à cordes de l'Orchestre de l'Opéra de Massy. Les musiciens présenteront leurs instruments : le violon, l'alto et le violoncelle n'auront plus aucun secret pour les élèves.
Au cours de ce mini-concert, le Quatuor interprétera également plusieurs morceaux célèbres, traversant toutes les époques musicales.
- Vendredi 27 janvier, 19h
Conférence musicale, avant concert, durant laquelle le musicologue Nicolas Jortie analyse les œuvres au programme (gratuite pour les spectateurs)